La Perle, une taverne modeste qui se dit réputée, mais dont l'ardeur a se faire un nom glorifiant était quelque peu... nulle. Les honnêtes clients qui faisaient l'erreur de mettre les pieds dans le lupanar en question étaient mal accueillis d'office, puisque les serveurs et les "serveuses" savaient pertinemment que ces derniers useront toute leur force de persuasion pour ne plus jamais revenir ici, si seulement ils étaient capable d'en partir : les bandits savent reconnaître les friqués... Un homme éméché qui titubait dans le bâtiment, une bouteille presque vide à la main, se fit accosté par une belle elfe aux yeux de chat.
Salut mon choux. J'aime quand t'es beurré comme ça, laisse moi croquer ton biscuit...
L'homme complètement torché ne comprit même pas la requête de cette jeune personne et baragouina dans un dialecte fort singulier :
kesta gonnasse .!?!.?!.. tu vak torchae avax moi, sssssssa ??§.?.?!
Il prit sa bouteille dans ses deux mains et la leva au dessous sur laquelle son contenu se déversa. Hélas pour lui ses mains étant particulièrement grasses l'élan qu'il tenta de faire prendre à son offensive ne put s'achever car son "réceptacle de vie" lui échappa des mains alors qu'il était encore au dessus de son crâne. Il s'écrasa au sol, dans un fracas assez lattant, attirant l'attention de tous les bandits de la taverne ( de tous les clients donc... ), qui d'ailleurs étaient particulièrement nombreux ce jour ci. Ces fêtards ne perdirent pas cette occasion en or de mettre un peu d'ambiance. Les moins soul d'entre eux se mirent a entourer la jeune femme et voir leur regard lubrique elle ne put que comprendre pourquoi il n'avaient pas sorti leurs armes de leurs fourreau.Subitement celui le plus costaud ce jeta sur elle, cette dernière esquiva d'un geste gracieux et le plaqua au sol, elle glissa sa main sous sa jupe et en sorti ... un magnifique poignard elfique qu'elle planta dans le dos du pauvre malheureux qui gisait a terre. Celui-ci émit une plainte fort peu masculine, qui eut pour seul succès de faire subir a son entourage un joyeux concert de rires.L'elfe retira le couteau et voulut le ranger mais un autre gaillard de la même bande ne désirant pas laissé cet affront impunis lui bloqua la passage et dégaina son épée.La ravissante jeune femme passa entre ces jambe et l'attrapa dans le dos désireuse de lui trancher mais l'homme ayant une masse corporelle supérieur a l'elfe (et aussi d'assez bon réflexe ) il attrapa un de ses bras la fit passer par dessus lui et elle s'écrasa brutalement sur le plancher, et resta allongée quelque peu sonner.
Les hommes ne se concertèrent pas pour savoir qui mettrai le premier la main ,ou autre chose, au panier et se jetèrent sur le corps étendu de l'elfe.Celle -ci se réveilla juste à temps pour voir de grands abrutis velus et hirsutes à la face hideuse lui bondirent dessus,d'un mouvement indescriptible elle réussit à sortir du cercle, non sans avoir tailladé quelque uns d'entre eux.
Elle arriva à la porte mais fut saisi par le pied. C'était l'homme qui l'avait violemment jeté a terre.
Mais tu vas me lâcher oui, pourriture!!
[b]
Elle lui planta son poignard dans l'arrière train, il la lâcha, et pour être sur qu'il ne la poursuive pas elle le transperça a maintes reprises et s'enfuit dans les ruelles de la cité alors même que les alcooliques commençaient à la poursuivre, mais essoufflés ils arrêtèrent très vite de la pourchasser.